Résumé :
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Roman policier (suspense) « - Bien, dit Clyde-Fox en se rechaussant. Sale histoire. Faites votre job, Radstock, allez voir §a. C'est un tas de vieilles chaussures pos©es sur le trottoir. Pr©parez votre ¢me. Il y en a une vingtaine peut-ªtre, vous ne pouvez pas les manquer.- Ce n'est pas mon job, Clyde-Fox!Bien s»r que si. Elles sont align©es avec soin, les pointes dirig©es vers le cimeti¨re. Je vous parle ©videmment de la vieille grille principale.- Le vieux cimeti¨re est surveill© la nuit. Ferm© pour les hommes et pour les chaussures des hommes.- Eh bien elles veulent entrer tout de mªme, et toute leur attitude est tr¨s d©plaisante. Allez les regarder, faites votre job.- Clyde-Fox, je me fous que vos vieilles chaussures veuillent entrer l -dedans.- Vous avez tort, Radstock. Parce qu'il y a les pieds dedans.Il y eut un silence, une onde de choc d©sagr©able. Une petite plainte sortit de la gorge d'Estal¨re, Danglard serra les bras. Adamsberg arrªta sa marche et leva la tªte. » "- Bien, dit Clyde-Fox en se rechaussant. Sale histoire. Faites votre job, Radstock, allez voir §a. C'est un tas de vieilles chaussures pos©es sur le trottoir. Pr©parez votre ¢me. Il y en a une vingtaire peut-ªtre, vous ne pouvez pas les manquer.?- Ce n'est pas mon job, Clyde-Fox.?- Bien s»r que si. Elles sont align©es avec soin, les pointes dirig©es vers le cimeti¨re. Je vous parle ©videmment de la vieille grille principale.?- Le vieux cimeti¨re est surveill© la nuit. Ferm© pour les hommes et pour les chaussures des hommes.?- Eh bien elles veulent entrer tout de mªme, et toute leur attitude est tr¨s d©plaisante. Allez les regarder, faites votre job.?- Clyde-Fox, je me fous que vos vieilles chausssures veuillent entrer l -dedans.?- Vous avez tort, Radstock. Parce qu'il y a les pieds dedans... « - Bien, dit Clyde-Fox en se rechaussant. Sale histoire. Faites votre job, Radstock, allez voir §a. C'est un tas de vieilles chaussures pos©es sur le trottoir. Pr©parez votre ¢me. Il y en a une vingtaine peut-ªtre, vous ne pouvez pas les manquer. - Ce n'est pas mon job, Clyde-Fox! Bien s»r que si. Elles sont align©es avec soin, les pointes dirig©es vers le cimeti¨re. Je vous parle ©videmment de la vieille grille principale. - Le vieux cimeti¨re est surveill© la nuit. Ferm© pour les hommes et pour les chaussures des hommes. - Eh bien elles veulent entrer tout de mªme, et toute leur attitude est tr¨s d©plaisante. Allez les regarder, faites votre job. - Clyde-Fox, je me fous que vos vieilles chaussures veuillent entrer l -dedans. - Vous avez tort, Radstock. Parce qu'il y a les pieds dedans. Il y eut un silence, une onde de choc d©sagr©able. Une petite plainte sortit de la gorge d'Estal¨re, Danglard serra les bras. Adamsberg arrªta sa marche et leva la tªte. » - Bien, dit Clyde-Fox en se rechaussant. Sale histoire. Faites votre job, Radstock, allez voir §a. C'est un tas de vieilles chaussures pos©es sur le trottoir. Pr©parez votre ¢me. Il y en a une vingtaine peut-ªtre, vous ne pouvez pas les manquer. - Ce n'est pas mon job, Clyde-Fox. Bien s»r que si. Elles sont align©es avec soin, les pointes dirig©es vers le cimeti¨re. Je vous parle ©videmment de la vieille grille principale. - Le vieux cimeti¨re est surveill© la nuit. Ferm© pour les hommes et pour les chaussures des hommes. - Eh bien elles veulent entrer tout de mªme, et toute leur attitude est tr¨s d©plaisante. Allez les regarder, faites votre job. - Clyde-Fox, je me fous que vos vieilles chaussures veuillent entrer l -dedans. - Vous avez tort, Radstock. Parce qu'il y a les pieds dedans. Il y eut un silence, une onde de choc d©sagr©able. Une petite plainte sortit de la gorge d'Estal¨re, Danglard serra les bras. Adamsberg arrªta sa marche et leva la tªte.
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